Après découpes de parts de gâteaux apportés par deux participantes et par Anca (gâteau roumain aux cerises confectionné par elle-même et en l’honneur de son anniversaire). Anniversaire qui lui sera souhaité en différentes langues.
Dans un premier temps, rapide tour de table de présentations – notamment pour celles et ceux absents lors du commando d’accueil au hangar – et recueil des coordonnées.
Quelques questionnements surgissent à propos des Souffleurs, notamment par les présents au hangar :
- Pourquoi les Souffleurs sont-ils tous habillés de noir ?
- Pourquoi les Souffleurs ont-ils des parapluies et des éventails ?
- Comment s’appelle le long tube au travers duquel nous chuchotons ?
- Sommes-nous seulement Souffleurs ou exerçons-nous un autre métier ?
- Pourquoi avons-nous au hangar une caravane ?
Explications et échanges, puis rappel de ce qu’est le Trésor poétique municipal, de notre prochaine visite aux archives, du projet de la confection d’un objet à présenter lors de la fête de la ville.
Enfin nous entamons un petit tour d’horizon des « Proverbes » de chaque pays ici représenté, avec bien sûr une tentative de définition.
- Houda propose, en arabe fousha : « Quand tu ne sais pas où tu vas, n’oublie jamais d’où tu viens ».
- Afonso nous dit un proverbe en créole capverdien : « Ne dis pas ton secret à tout le monde ».
- Milka nous dit deux proverbes en Serbe : « Par le matin, le jour est connu » ; « Apprentissage est lumière ».
- Mohammed propose, en arabe soudanais : « La vache noire donne du lait blanc ».
- Zahoua nous dit deux proverbes en kabyle, dont nous n’avons pas réussi à traduire exactement le sens : « Même si tu n’as pas de frère, tu peux trouver des frères dans ton entourage » ; « Je suis mariée, j’ai couché, mais je n’ai pas d’enfant ».
- Mabrouka propose, en arabe égyptien : « La patience est une clé en or ».
- Et Talia nous dit un proverbe en arabe fousha : « Même la rose la plus belle perd un jour sa beauté, mais l’amitié fidèle est éternelle ».